Nous ne sommes pas sans bergers


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Catégorie : Encouragements spirituels

Auteur : Countdown to the Kingdom

Nombre de consultations : 1.159

De nombreux lecteurs nous ont fait part de leur sentiment d'avoir été abandonnés par nos bergers au cours de cette « pandémie ». Interdits d'entrer dans leurs églises, livrés à eux-mêmes pendant de longues périodes de confinement, privés même des derniers sacrements par endroits — face à un énorme silence de la part de la plus grande partie de la hiérarchie, aujourd'hui en étroite collaboration avec le gouvernement dans ce qui s'avère être de flagrantes violations de la dignité humaine — tout cela représente, pour le moins, une grande douleur pour beaucoup d'entre nous.

Et réel est le sentiment pour beaucoup d'avoir été trahis (ou d'avoir l'impression que la messe n'est plus essentielle, parce que tel a été le message, qu'il soit intentionnel ou non), avec pour conséquence qu'alors que les églises ouvraient à nouveau leurs portes dans de nombreux endroits, beaucoup de fidèles ont décidé de ne tout simplement plus revenir.

Que pensez-vous que le Seigneur dirait au sujet de la suspension universelle des sacrements au sein de l'Église, ayant privé les fidèles — parmi eux de nombreuses personnes âgées et mourantes — des sacrements à travers le monde ? Une telle chose ne s'est jamais produite en 2.000 ans d'histoire de l'Église, pas même dans les temps de guerre, de peste et de persécution les plus sombres. Que se serait-il passé si l'Église avait intensifié sa vie sacramentelle ? Mais au lieu de cela, elle a agi selon la logique séculière générale, qui ne reconnaît pas la foi et impose la suspension des sacrements et la désolation des lieux de pèlerinage, entre autres. [...] Alors sur quoi doivent reposer notre foi et notre raison ? Devons-nous faire confiance à nos propres moyens humains, qui n'ont pas obtenu l'effet souhaité mais ont causé d'énormes dommages, ou nous confier au secours surnaturel de Dieu ?

— Son Excellence Marian Eleganti, évêque auxiliaire de Coire, Suisse ; 22 avril 2021 ; lifesitenews.com

Et à présent, un évêque canadien a décidé d'interdire les sacrements (qui transmettent la vie divine à l'homme) à tous les paroissiens « non vaccinés » [1] — une incroyable violation de la conscience des fidèles, et une contradiction de l'enseignement explicite de l'Église selon lequel « la vaccination n'est pas, en règle générale, une obligation morale et que, par conséquent, elle doit être volontaire. » [2] Comme me le disait quelqu'un avec ironie : « Et on nous exhorte ensuite avec des "Bâtissons la Cité de Dieu" et des "Je suis le Pain de Vie" ! »

Mais il est également vrai que de nombreux prêtres se sont sentis paralysés par les décisions de leurs évêques, certains envisageant déjà de « passer dans la clandestinité » étant donné leur refus de participer à une approche purement sécularisée de cette crise.

Cependant, nous aurions tort de croire qu'aucune voix ne crie aujourd'hui dans le désert. La semaine dernière, deux prêtres, des deux côtés du globe, ont prononcé une puissante homélie condamnant à la fois l'apartheid sanitaire qui commence à prendre forme dans leur pays et les mesures de « sécurité » sévères de nos gouvernements qui causent bien plus de dommages que de bien. Nous avons pris un extrait de chacune de ces deux homélies pour votre édification, et pour nous encourager à réaliser que les véritables bergers existent et sont prêts à donner leur vie pour leurs troupeaux...

Le vrai berger donne sa vie pour ses brebis.
(cf. Jean 10: 11)

Père Stefano Penna, Saskatoon, Canada sur l' « obligation vaccinale » :

(Ma traduction en-dessous de la vidéo)

Le pouvoir est en train d'être exercé d'une façon effroyable. L'Église, qui suit fidèlement Jésus qui nous a tous créés à l'image et à la ressemblance de Dieu, sait que l'intégrité du corps humain est telle que personne ne doit jamais être obligé de prendre quelque médicament que ce soit. Point. Personne. Nul être humain ne doit être contraint de prendre de l'aspirine, ou un quelconque vaccin... Personne !

Cependant, si nos yeux sont tournés vers Dieu et que nous voulons aimer notre prochain, nous ne devons pas le faire à la manière du monde — qui nous dit, « Si vous vous souciez des autres, vous ferez [cette injection] ». Vraiment ? Vous souciez-vous de moi ? De mes enfants ? Comment m'avez-vous prouvé — vous monde, vous puissances du monde, vous puissances politiques mondiales — comment m'avez-vous prouvé que vous connaissez quoi que ce soit à l'amour et la charité envers le prochain ?

Jacques l'exprime de cette façon : « Vous êtes pleins de convoitises et vous n'obtenez rien, alors vous tuez. » (Jc 4: 2) Exagération ? Peut-être pour Jacques. Peut-être parlait-il du meurtre que sont la médisance et la calomnie. Mais pas pour nous.

« Mon corps m'appartient ! Je veux que tout s'accorde à ma volonté ! Je refuse de dépenser de l'argent pour m'occuper d'un enfant trisomique. Je ne veux pas souffrir pour lui. »

Et donc nous assassinons, les enfants à naître, les plus vulnérables. Un pan entier de notre humanité, les personnes trisomiques, tuées, assassinées. Et vous me demandez de faire confiance à cette société pour m'enseigner à moi comment prendre soin des autres ? Elle s'est emparée de tout ce que l'Église a donné au monde : les hôpitaux, les écoles, les institutions de protection sociale, et les a adoptés admirablement tout en les privant de leur dimension d'amour, parce qu'il n'y a pas de place dans nos gouvernements pour l'amour. Comme saint Paul nous l'enseigne : je peux faire tout le bien que je veux, avoir le plus grand pouvoir, une sécurité sociale solide, mais sans l'amour je ne suis qu'un cuivre qui résonne. Pourquoi, frères et sœurs, écouter les cuivres et les cymbales ? Pourquoi participer à leurs discussions ? Les cuivres résonnent au son des lois coercitives ; les cymbales du pouvoir retentissent pour nous diviser toujours plus, en nous collant toutes sortes d'étiquettes.

Nous faisons face à quelque chose qui, je pense, est sans précédent. La pression exercée sur les citoyens pour qu'ils se fassent vacciner. Maintenant, en tant que chrétiens nous ferions bien de réaliser que parfois notre corps ne nous appartient pas.

Tu as des migraines, Jean ? Et tu dis, « Je refuse de prendre de l'aspirine. » Est-ce un choix moral ? Pas si tu rends la vie impossible à tout le monde au boulot et à la maison. Tu dois les aimer. Donc prends ce fichu médicament !

— « Je ne crois pas dans les antibiotiques ! Je vais me lever et le faire savoir à tous. »

— « Tu as la responsabilité envers tes enfants de tout faire pour ne plus avoir cette douleur. Donc prends cet antibiotique ! »

Mais vis-à-vis de ce vaccin — s'il s'agit bien d'un vaccin — quelle est notre responsabilité ? Une chose dont je suis sûr est que nous ne pouvons pas participer à quelque acte de coercition que ce soit exercé par le gouvernement dans le cadre d'un système de marquage visant à identifier les purs et les impurs, les lépreux et les non lépreux, les vaccinés et les non vaccinés. Agir ainsi signifierait pour nous, nous livrer aux puissances de ce monde — laquelle puissance n'appartient qu'à Dieu.

J'ai entendu dire que certains prêtres et évêques dans l'Église ont — quelle qu'en soit la raison et je ne peux juger — imposé ce passeport vaccinal comme condition pour venir adorer Dieu dans les églises. Je ne demande pas aux fidèles quand ils viennent communier s'ils sont en état de grâce. Frères et sœurs, du point de vue de l'éternité, [l'état de l'âme] est bien plus important que celui du corps. Cela ne se produira jamais dans cette église. Jamais.

Lire : Vaincre l'esprit de peur

Père Christopher Sharah, FSF, Sydney, Australie sur les mesures « démoniaques » du gouvernement :

Je vous conseille d'écouter ce prêtre en même temps que vous lisez la traduction sous la vidéo pour entendre la puissance de ses paroles.

Regardez notre société, qui vit dans la peur. Terrifiée. Incapables de quitter leurs maisons. Incapables de vivre comme des êtres humains normaux. Terrorisés par ce virus qui pourrait les faire souffrir. Qui pourrait même les tuer. Est-ce cela que Dieu attend de nous ? Est-ce pour vivre ainsi que nous avons été créés ? Tout ceci va à l'encontre de tout ce que nous sommes en tant qu'êtres humains, et tout ce que nous sommes en tant que chrétiens. C'est tellement démoniaque de voir nos églises fermées par nos gouvernements ! C'est le summum du mal, justifié par ce terrible virus. Parce que les gens ont peur de la Croix, ils ont peur de l'éventualité d'avoir à souffrir. Pourtant, ils peuvent fuir autant qu'ils veulent, cela ne les empêchera pas de souffrir, cela n'arrêtera pas la maladie, cela n'arrêtera pas la mort. Ils sont en train d'échanger leur droit d'aînesse (cf. Gn 25: 29-34) contre une idée trompeuse de la façon dont ils peuvent sauver leur vie. Mais cela ne sauvera pas leur vie, et ne sauvera certainement pas leur âme !

Qu'avons-nous fait du commandement de Dieu, « Tu te souviendras et sanctifieras le jour du sabbat » ? Comment avons-nous pu nous en débarrasser ainsi, par l'intermédiaire d'un gouvernement impie qui n'a aucune idée de ce qu'est la Vérité !

Mais le pire — parce que je peux tout attendre de ces païens qui dirigent notre nation — le pire est que des catholiques écoutent les médias, et acceptent et croient dans la parole des médias ! Les médias n'ont fait que leur mentir, depuis des décennies, les tromper de toutes les manières possibles et imaginables, et ils sont assis chez eux à regarder leur stupide poste de télévision et à croire ces mensonges et ces vérités déformées, de la même manière que les déforme et les falsifie le démon. Voilà ce qui me brise le cœur ! Ils acceptent ces mesures de confinement, considérant comme une chose bonne la fermeture de nos églises. Comment cela peut-il être une chose bonne ? Jamais, dans toute l'histoire de l'humanité, une maladie n'a provoqué une telle chose ! Jamais nos églises n'auraient dû être fermées, et les fidèles tenus à l'écart de la Maison de Dieu ! C'est maléfique, démoniaque ! Même si nous avions la pire épidémie imaginable (lire Coronavirus et l'Église : comment un saint pape a su faire face à la peste) les églises devraient rester ouvertes ! Mais vous voyez, l'homme ne croit plus en Dieu. L'homme ne croit pas que Dieu soit le Créateur de toutes choses ; qu'Il donne la vie et reprend la vie ; qu'Il peut nous protéger et veiller sur nous. Ils refusent de lui faire confiance. Ils mettent toute leur foi dans les hommes. Or, que nous dit l'Écriture ? Ne mettez pas votre foi dans des hommes mortels, dans des princes de qui ne viendra aucune aide.

Jamais de mon vivant nous n'avons eu à faire un choix aussi sérieux et grave de conséquences. Il est temps, frères et sœurs, de vous lever pour défendre votre foi, de faire tout ce que vous pouvez humainement pour votre foi. Avant tout, tournez-vous vers La Bienheureuse Vierge Marie. Elle nous a avertis de tout ceci à Fatima. Cela fait partie de l'avertissement donné à Fatima. Que les erreurs de la Russie se répandraient partout. Le communisme a pris le contrôle de nos démocraties, et il a détruit la dignité et la liberté humaines. Nous avons des hommes et des femmes âgés qui sont entassés dans des institutions sans être autorisés à recevoir la visite de leurs proches. C'est démoniaque ! Ce n'est ni juste, ni justifié, ni bien. C'est inacceptable !

Nous sommes dans un État policier. De bons citoyens sont poursuivis par la police pour s'être comportés comme des êtres humains, pour avoir voulu pratiquer leur foi. Pas des criminels, mais de bons citoyens australiens. Il n'y a rien de bon dans ce qui se passe en ce moment. Ce n'est pas justifié et ce n'est pas juste ! Et en ce qui concerne ce passeport vaccinal, c'est impitoyable ! Il nous prive de toutes nos libertés et de notre vie privée. Ceci aussi est maléfique et communiste. Nous devons nous lever pour défendre notre foi, nos libertés, notre nation.

Chaque année nous célébrons la Toussaint. Et nous pensons à toutes ces belles jeunes filles et ces beaux jeunes hommes qui ont lutté pour leur liberté. Et nous, que faisons-nous ? Cette génération qui s'est laissé, plus que tout autre avant elle, laver le cerveau — zombifier. Nous nous asseyons et regardons nos stupides postes de télévision et écrans d'ordinateur et acceptons tout cela. Tout est en train de nous être retirés. Et on le justifie par la peur d'un virus qui pourrait nous tuer.

Ne craignez pas ceux qui tuent le corps sans pouvoir tuer l'âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr dans la géhenne l'âme aussi bien que le corps. (Mt 10: 28)

C'est mal. Et cela se produit parce que nous avons perdu notre foi en Dieu et avons cessé de suivre le Christ.

... le Fils de l'homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? (Lc 18: 8)

Lire : "Cette consécration me sera faite lorsque des événements sanglants seront désormais en voie de réalisation"

* * *

Le communisme est donc en train de revenir dans le monde occidental, parce que quelque chose est mort en Occident — à savoir la foi forte des hommes en ce Dieu qui les a créés.

— Mgr Fulton Sheen, « Le communisme en Amérique »

... nous [n'entendons] pas Dieu — cela nous dérangerait — et ainsi, nous ne sentons pas non plus naturellement la force du mal et nous restons sur le chemin de notre confort... La somnolence... des apôtres [est aussi la nôtre], nous qui ne voyons pas, qui ne voulons pas voir toute la force du mal, et qui ne voulons pas entrer dans Sa Passion.

— PAPE BENOÎT XVI, Audience général, 20 avril 2011 ; Vatican.va

* * *

Sans répit, vous voulez tout évaluer, tout scruter, penser à tout, en faisant seulement confiance aux forces humaines, ou pire encore aux hommes en vous confiant en leur seule intervention. C'est cela qui entrave mes paroles et mes vues. Oh, comme Je désire de vous cet abandon pour que vous en tiriez profit, et comme Je m'afflige de vous voir agités ! Satan tend exactement à cela : à vous agiter pour vous soustraire à mon action et vous laisser en proie aux initiatives humaines. Ayez donc pleinement confiance en Moi seul, reposez-vous en Moi, abandonnez-vous à Moi pour tout.

— Jésus au Père Dolindo ; lire Une foi invincible en Jésus

Notre foi n'est pas dans la science, notre foi est en Dieu !

— Dr Judy Mikovits, PhD ; documentaire Suivre la Science (57:43)

J'ai bien peur qu'il existe un plan démoniaque et satanique derrière ce programme de vaccination, partout à travers le monde.

— Dr Sucharit Bhakdi ; documentaire Suivre la Science (57:51)

L'Église aurait un pouvoir énorme si elle voulait bien l'utiliser, si toutes les dénominations religieuses de ce pays s'unissaient et plantaient cet étendard dans le sol en disant, « Nous ouvrons demain, nous tous, et nous vous mettons au défi de nous arrêter ! » Elle serait inarrêtable ! Et quelle tragédie que, à tous les niveaux de la hiérarchie, elle ne l'exerce pas.

— Dr Roger Hodkinson, spécialiste canadien en pathologie et virologie ; documentaire Suivre la Science (59:36 et 01:00:18) ; lire « Les citoyens courageux n'obéissent pas aux ordres des tyrans »

C'est à nous de nous lever et de défendre notre foi contre cette attaque issue d'un agenda [communiste] qui cherche à détruire l'Église et à éradiquer Dieu de la société.

— Père Sean Mulligan, Monaghan, Irlande ; documentaire Suivre la Science (01:00:05) ; lire Un prêtre demande pardon pour avoir privé ses fidèles de l'Eucharistie : « Nous vous avons abandonnés. »

* * *

« Parce que Je vous aime, Je veux vous montrer ce que Je suis en train de faire dans le monde aujourd'hui. Je veux vous préparer pour ce qui va venir. Des jours de ténèbres arrivent pour votre monde, des jours de tribulations… Les bâtiments que vous voyez encore debout actuellement ne le seront bientôt plus. Mon peuple ne pourra plus compter sur l'aide et le soutien auxquels il a recours aujourd'hui. Je veux vous préparer, mon peuple, à ne connaître que Moi, à ne compter que sur Moi, à M'avoir en vous d'une façon plus profonde qu'elle ne l'a jamais été. Je vais vous conduire au désert… Je vais vous dépouiller de tout ce dont vous dépendez actuellement, pour que vous ne dépendiez plus que de Moi... »

— Ralph Martin, Place Saint Pierre, Rome, Italie, Lundi de Pentecôte, 1975 ; lire La Prophétie à Rome - Partie 1

Si vous connaissez d'autres homélies de bergers courageux, n'hésitez pas à les partager en commentaire !


[1] Seuls les fidèles « doublement vaccinés » peuvent assister aux messes ; diomoncton.ca ; lire aussi Les diocèses du Nouveau-Brunswick annoncent que les non-vaccinés ne pourront pas aller à la messe et Un diocèse canadien exige des fidèles d'être vaccinés pour assister à la messe
[2] — « Note sur la moralité de l'utilisation de certains vaccins anti-Covid-19 », n° 6 ; vatican.va

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Commentaire laissé par Peyo brebis le

Je crois que beaucoup de gens ne comprennent pas la profondeur et la gravité de la crise spirituelle de nos sociétés.
Cette crise a commencé avec la Renaissance humaniste et païenne.
Elle s'est aggravée terriblement avec la Réforme protestante.
Elle est devenue endémique avec les révolutions maçonnique et athées, depuis 1789.
Quelle est la principale arme de Satan contre Dieu ?
Ce sont les Parlements, car les gens ont autorisé les parlementaires à faire leurs lois.
Et ces lois sont de plus en plus contraires aux Lois de Dieu.
Car le contre-pouvoir spirituel de l'Église catholique n'existe plus nulle part.
Qu'est-ce que le satanisme ? c'est rejeter les Lois de Dieu.
On pourrait donc dire que tout pays avec un Parlement est de plus en plus sataniste.
Des lois contraires aux Lois de Dieu sont imposées aux gens, et sont même imposées à l'Église.
L'Église n'a plus aucun pouvoir, que peut faire un évêque en effet contre une loi votée par le Parlement ?
Il s'agit d'une persécution beaucoup plus grave que l'époque des catacombes.
Car l'emprise et le contrôle de l'État sur les individus est beaucoup plus efficace qu'en ces temps-là.

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