Photo : Le clan Mallett chevauchant pour la liberté...
Nous ne pouvons pas laisser la liberté mourir avec cette génération.
— Major Steven Chudowski, soldat canadien; 11 février 2022
Nous approchons du moment décisif...
Notre avenir est littéralement la liberté ou la tyrannie...
— Robert G., un Canadien inquiet (lu sur Telegram)
Et plût à Dieu que tous, jugeant l'arbre par ses fruits,
sussent reconnaître le germe et le principe des maux qui nous accablent,
des dangers qui nous menacent.
Nous avons affaire à un ennemi rusé et [fourbe].
Il excelle à chatouiller agréablement les oreilles des princes et des peuples ;
il a su prendre les uns et les autres par la douceur de ses [paroles] et l'appât de ses flatteries.
— PAPE LÉON XIII, Humanum genus, n° 28
Cette semaine a ressemblé à une intense montagne russe pour les citoyens du monde entier qui, après deux ans de mensonges répétés, de données scientifiques manifestement erronées [1], et l'expérimentation sur leur corps, se sont soulevés contre leurs gouvernements. Ironiquement, le Canada — le pays le plus connu pour sa passivité et sa propension au politiquement correct — mène la charge contre la tyrannie sanitaire imposée à ses citoyens. Et les gouvernements ont tout fait pour diffamer ces personnes en les qualifiant de « haineuses », « violentes », « racistes », etc. [2] Mais des milliers de vidéos et de témoignages de témoins oculaires ont réfuté les accusations de la CBC et du reste des médias de l'establishment qui ont tenté de diaboliser l'ensemble du mouvement en se focalisant sur le comportement d'à peine quelques individus. [3] En France, la même tactique est déployée par le gouvernement français :
Ce n'est pas le convoi de la liberté. C'est le convoi de la honte et de l'égoïsme. Ce ne sont pas des patriotes, ce sont des irresponsables. Il est paradoxal de se prétendre pour la liberté, quand le projet est de bloquer la vie des gens.
— Clément Beaune, secrétaire d'État français aux Affaires européennes ; twitter.com
Quel paradoxe que ces gouvernements mêmes qui ont décrété des mesures de confinement sans précédent et immorales [4], interdit aux enfants de jouer ensemble et de poursuivre leurs rêves, détruit d'innombrables entreprises et vies et divisé des communautés — pour un virus dont le taux de survie est désormais similaire à celui de la grippe... [5] nous enseigne aujourd'hui ce qu'est la liberté. L'hypocrisie et l'insensibilité dont ils font preuve sont à couper le souffle. Et « la science » se tient totalement du côté des manifestants.
... les confinements ont eu peu ou pas d'effets sur la santé publique, ils ont infligé d'énormes coûts économiques et sociaux là où ils ont été adoptés. En conséquence, les politiques de confinement sont infondées et doivent être rejetées en tant qu'instrument de politique en temps de pandémie.
— Institut John Hopkins pour l'économie appliquée, « Une revue de la littérature et une méta-analyse des effets des confinements sur la mortalité due au COVID-19 », Herby, Jonung et Hanke ; janvier 2022, sites.krieger.jhu.edu
Les mesures de confinement au Canada tueront au moins 10 fois plus de vies qu'elles auraient pu en sauver du virus COVID-19. L'utilisation indéfendable de la peur pendant une situation d'urgence, pour s'assurer l'obéissance des citoyens, a blessé la confiance que ceux-ci portaient envers le gouvernement, ce qui durera une décennie ou plus. Les dommages causés à notre démocratie dureront au moins une génération.
— David Redman, M.Ing., juillet 2021, page 5, « La réponse mortelle du Canada au COVID-19 »
Soyons bien clairs : si votre gouvernement vous dit que, pour participer à la vie de la société, vous devez désormais prendre n'importe quel cocktail de médicaments qu'ils ont acheté aux méga-entreprises pharmaceutiques, vous vivez dans un régime tyrannique.
Les citoyens d'Australie du Sud ont été prévenus qu'il leur faudra probablement
une QUATRIÈME dose du vaccin Covid d'ici quelques mois.
Aucun pape, aucun évêque, aucun politicien, aucun responsable médical, aucun dictateur, et certainement aucun membre de votre famille, n'a le droit, en aucune façon, de vous contraindre à recevoir une injection dans votre corps, ni à vous culpabiliser ou vous couvrir de honte pour vous y opposer.
Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.
— Code de Nuremberg ; Shuster E. Fifty years later: The significance of the Nuremberg code. New England Journal of Medicine. 1997; 337:1436-1440
... la vaccination n'est pas, en règle générale, une obligation morale et [...], par conséquent, elle doit être volontaire.
— « Note sur la moralité de l'utilisation de certains vaccins anti-Covid-19 », n° 6 ; vatican.va
Les recherches ou expérimentations sur l'être humain ne peuvent légitimer des actes en eux-mêmes contraires à la dignité des personnes et à la loi morale. Le consentement éventuel des sujets ne justifie pas de tels actes. L'expérimentation sur l'être humain n'est pas moralement légitime si elle fait courir à la vie ou à l'intégrité physique et psychique du sujet des risques disproportionnés ou évitables.
— Catéchisme de l'Église catholique, n° 2295
Même si on vous dit qu'il s'agit d'un « acte d'amour », on ne peut pas vous forcer. Nous avons un mot pour qualifier un acte d'amour fait sous la contrainte : le viol. Vous êtes dans le déni si vous croyez que, pour le reste de votre vie, les injections et rappels sans fin sont « pour le bien commun ». C'est un mensonge, et si vous le croyez, vous devez prier et jeûner pour être libéré de cette « psychose de masse » [6] — surtout lorsque les données à court terme révèlent que de telles injections sont incontestablement dévastatrices pour de nombreuses personnes [7] et que les effets à long terme pour tous sont encore inconnus (bien que le lauréat du prix Nobel, le Dr Luc Montagnier, décédé il y a quelques jours, ait quelque chose à dire à ce sujet ici). En d'autres termes, si vous n'avez pas été blessé jusqu'à présent, ignorer délibérément la dévastation que cela a provoqué chez des millions de personnes n'est pas un acte d'amour mais véritablement de l' « égoïsme ». [8]
Le nouveau totalitarisme
Nous devons nous enlever de la tête l'idée que les bottines et les chars qui roulent dans nos rues sont les seuls « vrais » signes d'un État totalitaire.
Un système de crédit social communiste à la chinoise, « est en train de se mettre en place à nos portes en ce moment aux États-Unis et en Europe ».
— Chen Guangcheng, avocat des droits de l'homme et dissident chinois ; 11 février 2022, lifesitenews.com
Lire la suite (traduction automatique) sur le blog de Mark Mallett :
The Last Stand
Le commandant Steven Chudowski rompt les rangs avec une déclaration puissante (traduction française automatique) :
Mark Mallett
The Last Stand