4 mars 2024 : le lundi noir de l'homicide sacralisé


Commentaires (6)

Catégorie : Réflexions sur les signes des temps

Auteur : Belgicatho

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L'homme dé-divinisé n'est même plus un homme, mais une machine ou une bête. Lorsqu'un jour, sonnés et hagards au milieu des ruines qu'ils auront provoquées, les hommes reprendront peu à peu conscience, en rampant dans les cendres de ce qui fut jadis le « mol oreiller » de leurs délires, leur première question balbutiée sera peut-elle celle-là : « Mais comment en est-on arrivé là ? »

Un ami du blog Belgicatho leur a fait parvenir cette analyse de Patrick de Pontonx :

LE LUNDI NOIR DE L'HOMICIDE SACRALISÉ

1.- Dans un profond petit livre intitulé « La dernière avant-garde » (Cerf, 2023), Romaric Sangars évoque la foi que tant de nos contemporains, spécialement des élites, accordent au Progrès. Ce n'est pas une première. Cette foi, depuis le XIXe siècle, donne à croire aux foules qu'une chose est bonne à proportion qu'elle est nouvelle et que le déterminisme des « avancées » sociales, morales et techniques, les rapproche toujours infailliblement de leur Bonheur. Le développement inouï des sciences informatiques étend considérablement les ailes de cette illusion millénariste.

Cette idéologie a beau être ringarde en son scientisme, elle avance toujours dans l'histoire, selon la dynamique exponentielle qui lui est propre. Elle aveugle toujours plus les hommes à mesure qu'elle déshumanise leurs esprits et leurs regards, en les éloignant davantage de la lumière divine qui féconde l'ordre de la nature créée. Chemin faisant, même les sanglantes expériences rencontrées, générations après générations, ne leur servent de rien.

« Dachau et Hiroshima n'ont pas suffi à nuancer » la foi des progressistes, dit l'auteur, « ni le délabrement de l'environnement tant naturel que culturel, pourtant flagrant. Ils croient, comme deux et deux font quatre, que les choses ne peuvent aller qu'en s'améliorant, et qu'il n'y a par conséquent qu'à s'abandonner au train du temps pour parvenir à destination ».

Les expériences individuelles de la grisaille qui s'étend sur le monde, de la pulvérisation des relations et des sociétés humaines, et des désespoirs qu'elle entraîne, ne suffisent pas davantage à dessiller les yeux. Même au fond du malheur, la religion du Progrès demeure chevillée au corps d'une humanité qui ne se voit pas pourrir sur pied à mesure qu'elle « progresse ». L'attrait fasciné de « l'Avenir radieux » a pénétré les tréfonds de sa conscience, dont le seul mal perçu est celui d'une « réaction » qui contrarierait sa marche au chaos. Si le démuni lui-même rêve de jours meilleurs, c'est par le phantasme d'un gain de hasard et d'une participation plus grande aux fruits de la Consommation engendrés par le Progrès.

La corrélation de la marche hallucinée de ce Progrès et de la barbarisation de l'homme qu'elle implique est si manifeste que Romaric Sangars va jusqu'à dire de ses acteurs : « Ils s'adonneront de nouveau à l'anthropophagie convaincus d'être à la proue de l'Histoire ».

Il s'agit là assurément d'une caricature, mais en aucun cas d'une boutade. Le phénomène est si étendu et si profond dans la structuration des esprits de ce temps, en tout cas dans le monde qualifié « d'occidental », que le pape Jean Paul II, on le sait, a pu parler de « culture de mort », c'est-à-dire de terreau d'un anti-humanisme létal.

2.- Les politiciens français contemporains ne vont pas, assurément, jusqu'à proposer à leurs concitoyens de faire de l'anthropophagie une avancée nouvelle de l'esprit de Progrès.

Ils ne sont cependant pas en reste.

L'introduction de l'avortement dans la Constitution française, en ce Lundi Noir 4 mars 2024, établit désormais comme principe structurant et comme norme légale supérieure de cette société l'homicide volontaire d'enfants à naître. Les bruyantes protestations contraires des progressistes ne changent rien à la nature brutale et inhumaine de cet acte, pas plus que son travestissement juridique.

A ceux qui nous objecteraient que l'avortement n'est pas un crime puisque la loi dit que c'est un droit, il appartiendrait de nous expliquer pourquoi, pour ne citer que cet exemple, la destruction de millions d'ukrainiens en 1932-1933 serait un crime puisqu'elle a été inaugurée par la loi du 7 août 1932 sur le « vol ou la dilapidation de la propriété socialiste ». En réalité, ce n'est pas le droit positif qui détermine la nature des choses ; c'est cette dernière qui fonde la légitimité du droit. Cet ordre entre l'un et l'autre est si manifeste que la Cour européenne des droits de l'homme elle-même voit en la dignité de la personne, qui est une propriété essentielle de la nature humaine, le fondement de tous les droits, fussent-ils fondamentaux eux-mêmes.

Voilà pourquoi, dans le monde chrétien, il a toujours été affirmé qu'aucun droit ne pouvait résulter d'une violation du droit naturel. L'Eglise catholique tient toujours ce discours, en rappelant récemment, par le biais de l'Académie pontificale pour la vie, que « précisément à l'ère des droits humains universels, il ne peut y avoir de "droit" à supprimer une vie humaine ». Cicéron, juriste parmi les juristes, enseignait déjà plus de 100 ans avant la naissance du Christ le primat du droit naturel sur toute loi positive, et il allait jusqu'à dire que l'affirmation contraire était « la plus stupide » qui soit. Pourquoi ? Parce qu'elle justifiait le droit des tyrans. Parce qu'elle justifie aujourd'hui l'Holodomor, la persécution des juifs et tous les génocides d'État. Et la destruction des enfants à naître dans le sein de leur mère.

Le Progrès, cependant, n'en a cure. La stupidité ne lui fait pas peur. A qui en douterait encore, il suffirait de lire les propos réjouis d'Aurore Bergé au soir du vote « historique » : « Pour toi, maman. Pour toi, ma fille. Pour toutes nos mères. Pour toutes nos filles. Pour toujours ! Liberté ! », comme si l'avortement, précisément, n'aurait pas rendu cette ode impossible ! Le Progrès poursuit son cours triomphal sur le réel et sur la vie, gratifiant ses joyeux adeptes du droit de tuer au nom des droits qu'ils revendiquent sur leur corps et sur leur bonheur.

« A la proue de l'Histoire », pour reprendre l'expression de Sangars, le législateur français ne se propose pas, non, de réhabiliter l'anthropophagie. Il est néanmoins fier, au nom du Progrès, de re-sacraliser solennellement les sacrifices humains, sur l'autel de la Liberté. Il s'agit, là encore assurément d'une caricature, mais il ne s'agit pas davantage d'une boutade. L'événement du Lundi Noir manifeste un consentement à la barbarisation de la société.

Jean Paul II, en 1995, n'avait pas manqué d'observer, dans l'Encyclique Evangelium vitae, le caractère profondément paradoxal du prétendu droit à l'avortement, parce que la reconnaissance de ce droit (et a fortiori sa constitutionnalisation) va au rebours des principes qui fondent les Constitutions des Etats qui le reconnaissent. En voudrait-on un seul exemple pour la France qu'il suffirait de citer les termes de l'article 16 du code civil, que chacun devrait garder en mémoire : « : « la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l'être humain dès le commencement de sa vie ». La Cour de cassation a jugé à plusieurs reprises que ce principe avait « valeur constitutionnelle ». Il a donc une valeur égale à celui qui énonce désormais, sous l'article 34 de la Constitution : « la loi détermine les conditions dans lesquelles s'exerce la liberté garantie à la femme d'avoir recours à une interruption volontaire de grossesse ».

Le pape Jean Paul II soulignait aussi, dans le même document, que le fait pour ces États « de reconnaître la légitimité totale de ces pratiques contre la vie est tout à la fois un symptôme préoccupant et une cause non négligeable d'un grave effondrement moral ». Et il poursuivait : « Le résultat auquel on parvient est dramatique : s'il est particulièrement grave et inquiétant de voir le phénomène de l'élimination de tant de vies humaines naissantes (...), il n'est pas moins grave et inquiétant que la conscience elle-même, comme obscurcie par d'aussi profonds conditionnements, ait toujours plus de difficulté à percevoir la distinction entre le bien et le mal sur les points qui concernent la valeur fondamentale de la vie humaine » (Encl. Evangelium vitae, n° 4).

Tel est en effet, le problème de fond dont nous sommes les témoins au regard du vote massif intervenu : l'obscurcissement considérable et malheureusement consenti de la conscience morale de la plupart sous le poids des innombrables manipulations dont ils sont l'objet.

« L'homme dé-divinisé, poursuit Sangars, n'est même plus un homme, mais une machine ou une bête ». Lorsqu'un jour, sonnés et hagards au milieu des ruines qu'ils auront provoquées, les hommes reprendront peu à peu conscience, en rampant dans les cendres de ce qui fut jadis le « mol oreiller » de leurs délires, leur première question balbutiée sera peut-elle celle-là : « Mais comment en est-on arrivé là ? »

Il sera alors un peu tard pour pleurer.

Ce qui ne rend que plus brûlante l'alternative devant laquelle place Romaric Sangars tout homme ayant encore conservé la raison, en sous-titre de son excellent livre : « Le Christ ou le néant ».

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Commentaire laissé par Xavier le

Bonjour Philippe,
Je me permets de mettre en garde les lecteurs au sujet de soeur Beghe. Lorsqu'un "messager" attaque le Concile Vatican II et assimile subtilement le pape au "faux prophète", c'est un signe clair et net que cela ne vient pas de Dieu... Restons vigilants et implorons le don du discernement.
En union de prière,
Xavier

"Message" du 21 décembre 2021, "La coupe est pleine" (https://srbeghe.blog/2021/12/21/la_coupe_est_pleine/) :

"Et Moi, votre Mère, Mère de Dieu et de Miséricorde, j'ai sonné le glas mais mes fils prêtres ne M'écoutent pas. Ils ont admis l'esprit du concile Vatican II, un esprit nouveau qui tournait le dos à l'esprit bimillénaire de la Sainte Église catholique, ils ont changé l'esprit catholique sous prétexte de s'ouvrir au monde, alors que le monde hait mon Fils.

Ce concile s'est proposé l'aggiornamento de l'Église, c'est-à-dire son adaptation au monde moderne, à son libéralisme afin d' « aplanir la voie menant à l'unité du genre humain » (Jean XXIII, 11.10.1962). Si des parents, au lieu d'éduquer leurs enfants, se mettent à les suivre, ceux-ci seront non éduqués. Or c'est ainsi qu'ont agi les représentants de la sainte Église : ils ont voulu adapter l'Église aux erreurs du monde au lieu d'élever le monde, ou plutôt ceux qui les écoutent, à Dieu."

"Message" du 8 janvier 2022, "Le faux prophète" (https://srbeghe.blog/2022/01/08/le_faux_prophete/) :

"Le faux prophète qui est cette seconde Bête aux ordres de la première Bête, laquelle est aux ordres du dragon, est clair : il s'agit du chef de la chrétienté, aux ordres du mondialisme, lui-même aux ordres du Dragon, qui n'est autre que Lucifer."

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Commentaire laissé par Rébécca le

« Vous avez appris qu'il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi.
Eh bien ! moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent,
afin d'être vraiment les fils de votre Père qui est aux cieux ;… » ( Matthieu 5, 43-45)

« .. je vous le dis, à vous qui m'écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent. Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient. » (Luc 6, 27-28)

Prier, aimer nos ennemis même si ce n'est pas accepter l'inacceptable, si ce n'est pas les défendre dans les débats ni donner des explications et des raisons à leurs ignominies…ni voter pour eux ; c'est pourtant ce que le BonDieu nous demande.

L'Évangile est plein de situations où Jésus regarde, fait silence et parle aux pécheurs, c'est cette attitude là que nous sommes appelés à adopter.
Prier pour nos ennemis : regardez Jésus surtout en croix pour (à la place de) nos ennemis…aimer Dieu.
Aimer nos ennemis : « laisser Dieu traverser notre cœur pour rejoindre tous ceux qui nous sont confiés, sans choisir » (rdV Pierre d'Angle) même les ennemis de la vie.

« Combien de temps, Seigneur, vais-je appeler, sans que tu entendes ?
Crier vers toi : « Violence ! », sans que tu sauves ?
Pourquoi me fais-tu voir le mal et regarder la misère ?
Devant moi, pillage et violence ; dispute et discorde se déchaînent.

C'est pourquoi la loi est sans force et le droit n'apparaît plus jamais !
Quand le méchant cerne le juste,
alors le droit apparaît faussé.

Voyez chez les nations, et regardez !
Soyez dans la stupeur et la stupéfaction !
Car je ferai en votre temps une œuvre que vous ne croiriez pas, si on la racontait. » (Habacuc 1, 2-5)

Hauts les cœurs !

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Réponses apportées à ce commentaire :

Commentaire laissé par Rébécca le 25/03/2024 à 09:30

De même que la surabondance d'Amour du Père a enlevé nos péchés, nous pouvons par notre charité (reçue par la grâce de la foi) laissez Dieu agir auprès de nos prochains à travers notre vie.

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Commentaire laissé par Rizzo chantal le

Bonjour tout le sang de c'est bébé, crie vengeance au ciel, et je pense que dans très peu de temps, là main de dieu frappera la terre pour la nettoyer et la purifier. Car cela devient plus possible, nous vivons dans un monde sans foi ni loi, il suffit de regarder ce qui se passe dans se monde, les gens pensent qu'à leurs bien être les vacances le matérialisme, mais plus de croyance en dieu, et c'est se qui pert se monde. Prions pour le monde pour amoindrir ce qui arrivera. 🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏💖

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Commentaire laissé par evelyne le 10/03/2024 à 16:46

bonjour Chantal,

en parlant de la main de Dieu qui frappera .... Je viens de parler avec ma voisine, et elle m'informe qu'il y a le retour des maladies sexuellement transmissibles.... chez les jeunes.
Sinon que pouvons nous faire sinon nous préparer à ce qui vient dans la prière et de rester au plus près de Notre Seigneur Jésus qui souffre de cette situation plus que nous.

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Commentaire laissé par Philippe le 12/03/2024 à 11:53

Bonjour,

Lire les derniers messages du Ciel à Sœur (une religieuse belge apparemment) :

https://srbeghe.blog/lettres-collectives/

Extrait du message du 2 mars 2024 :

"Que se passe-t-il en votre pays ? Habitez-vous un pays européen ou un autre pays ? Tous les pays ne se ressemblent pas mais certains sont les têtes de proue des autres. La France est sur le point d'inscrire le crime des petits enfants à naître dans sa constitution et ses représentants y ont quasiment tous donné leur accord. Que se passe-t-il donc dans ce pays ? Est-il vraiment encore un pays responsable, lui qui tue ses enfants à naître ?

Comment vous, citoyens de ce pays, pouvez-vous encore lui accorder quelque crédibilité ! Ce pays est mort et les ruines s'amoncelleront sur lui. A force de s'épuiser lui-même, éliminant ses forces vives, il est destiné à sa propre perte.

(...) Que votre prière ne cesse de s'élever vers le Ciel car la vengeance du Ciel est proche. Le Ciel ne laissera pas les hommes se complaire dans leur péché du fait que "si vous touchez aux plus petits d'entre les Miens, c'est à Moi que vous le faites." (Mt 25, 40)."

Extrait du message du 11 mars 2024 :

"Je vous bénis, Mes Enfants, je bénis votre résolution de Me demeurer fidèles quoi qu'il arrive et quelles que soient les épreuves qui s'amoncellent au-dessus de vos têtes. Oui, la guerre est une très grande épreuve, Dieu le sait, et Je ne vous laisserai pas seuls au milieu de ses ruines tant que vous vous comporterez en catholiques fidèles, fervents et charitables envers vos frères moins instruits ou plus fragiles. Je serai avec vous, à vos côtés, et vous ne serez jamais seuls devant le danger, devant la disette, devant les destructions. Vous serez avec Moi et Je vous apporterai Mon assistance tant que vous l'implorerez."

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