Le grand dépouillement

En avril de cette année, lorsque les églises ont commencé à fermer, la parole que j'ai reçue dans le cœur était on ne peut plus claire : The Labor Pains are Real. J'avais alors comparé cela à ce moment où la femme perd les eaux et que commence pour elle le travail d'enfantement. Même si les premières contractions peuvent être supportables, son corps a désormais entamé un processus qui ne peut être interrompu. Les mois qui ont suivi peuvent être comparés à la femme enceinte qui fait sa valise, se rend à l'hôpital et entre dans la salle d'accouchement pour finalement donner naissance à son enfant.

En effet, si je ne me trompe, nous avons eu tout l'été pour apprendre bien des choses. Mes articles durant cette période se sont révélés cruciaux en exposant à chacun de nous le plan de base de l'ennemi (par exemple, The Pandemic of Control, The Great Reset, et Our 1942). Mais au cours des dernières semaines, quelque chose a changé. Avec la reprise des confinements dans de nombreux pays du monde, à commencer par la suspension des messes et la fermeture de plusieurs églises, la parole que je reçois aujourd'hui dans le cœur est que nous sommes en train de « franchir un seuil » (celui de « l'hôpital », pourrait-on dire) ; nous vivons le début du « grand dépouillement » de l'Église (les « tortures de l'enfantement »).

Alors que je commençais à rédiger ce billet, un message d'urgence est apparu tout à coup sur mon téléphone et le mail suivant est arrivé dans la boîte de réception de ma messagerie électronique. Ce message a été donné par Notre Dame à la voyante italienne Gisella Cardia :

Chers enfants, merci d'avoir répondu à mon appel dans vos cœurs. Mes bien-aimés, voici le début des tribulations, mais vous ne devez pas être effrayés tant que vous vous agenouillez et que vous reconnaissez Jésus, Dieu, Un et Trine. L'humanité a tourné le dos à Dieu à cause du modernisme et de la dissolution des mœurs, mais je vous demande : à qui irez-vous quand tout ce que vous avez maintenant disparaîtra ? À qui demanderez-vous de l'aide lorsque vous n'aurez plus rien à manger ? Et c'est à ce moment que vous vous souviendrez de Dieu ! N'attendez pas d'en arriver là, car Lui aussi pourrait ne pas vous reconnaître. Mes enfants, ne soyez pas comme les vierges folles : remplissez immédiatement vos lampes et allumez-les. Enfants, rappelez-vous que le silence vous mènera à la perdition, dès lors élevez la voix et cessez de vous taire. Chantez des louanges et des hymnes au Seigneur : n'ayez pas peur, mais soyez courageux. Accepter que la Parole de Dieu subisse fût-ce le plus petit changement reviendra à tout accepter — soyez vigilants. Je vous demande de répéter les promesses de votre baptême en renonçant à Satan et à toutes ses séductions. Maintenant, je vous bénis au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit, Amen.

— 24 novembre 2020 ; countdowntothekingdom.com

La grande confusion

C'est une période éprouvante pour beaucoup d'entre nous qui voyons à quelle vitesse effrénée avance désormais l'agenda mondialiste. [1] Il ne passe presque pas une heure sans que ne soit publié un article ayant de quoi nous rendre perplexes. De plus, nous sommes beaucoup à essayer de réveiller ceux qui sont autour de nous pour les aider à réaliser ce qui se passe réellement... mais tous les qualificatifs sont bons pour nous faire taire. Les gens ne sont pas intéressés par les « statistiques », les « études, les faits ou les preuves » ; ils ne veulent pas entendre les prétendues « théories du complot » ; nous devons faire confiance à nos gouvernements et aux autorités sanitaires, et aveuglément s'il-vous-plaît. Ils se moquent, ricanent et nous regardent avec condescendance — exactement comme saint Pierre nous a averti qu'ils le feraient :

Sachez avant tout que, dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec leurs railleries...

2 P 3: 3-4

C'est le début de [ce que saint Paul appelle] la force d'égarement. Nous vivons notre 1942, alors que si peu de nos concitoyens croient aux avertissements, alors même qu'on leur met les faits et les preuves sous les yeux et que les dirigeants du monde ne prennent plus la peine de cacher leurs intentions — qui n'ont rien à voir avec le fait de contenir la propagation du virus et de protéger votre grand-mère, mais qui vise à rebâtir complètement un monde nouveau après la démolition du monde actuel. [2] Comme l'a indiqué Notre Dame à Gisella, nous ne pouvons pas garder le silence ! Pourtant, nous sommes profondément frustrés parce que nous voyons comment le confinement des personnes en bonne santé à l'échelle de la planète — une expérimentation humaine sans précédent — est en train de détruire jusqu'à 40% de l'économie, [3] et de provoquer la mort de dizaine de milliers de personnes en raison du nombre toujours plus important d'opérations et d'interventions médicales qui se trouvent retardées. [4]

Mais nous constatons que tout cela présente un autre coût, en particulier dans les écoles secondaires. Nous déplorons un taux de suicides bien plus important actuellement que de décès dus au COVID.

— Robert Redfield, directeur du Center for Disease Control, « COVID Webinar Series », 28 juillet 2020 ; buckinstitute.org

Ce nombre pourrait atteindre 75.000 rien qu'aux États-Unis et être directement lié au Covid-19. [5] Au Japon, et ce depuis quatre mois consécutifs, le nombre de suicides a grimpé jusqu'à 2.153 pour le seul mois d'octobre. À ce jour, plus de 17.000 personnes se sont donné la mort au Japon pour cette seule année 2020. [6]

De plus, les effets sur les nations les plus pauvres sont catastrophiques :

Nous, à l'Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle de ce virus... Regardez ce qu'il advient des niveaux de pauvreté. Il semble que nous pourrions bien voir la pauvreté mondiale doubler d'ici l'année prochaine... et un doublement de la malnutrition infantile parce que les enfants ne reçoivent pas de repas à l'école et que leurs parents, dans les familles pauvres, ne peuvent pas se le permettre. Il s'agit en fait d'une terrible et épouvantable catastrophe mondiale. Et nous lançons donc un appel à tous les dirigeants du monde : Cessez d'utiliser le confinement comme votre principale méthode de contrôle, développez de meilleurs systèmes pour le faire, travaillez ensemble et apprenez les uns des autres, mais rappelez-vous que les confinements ont une seule conséquence que vous ne devez jamais négliger qui est de rendre les pauvres beaucoup plus pauvres.

— David Nabarro, envoyé spécial de l'OMS ; 8 octobre 2020 ; up-magazine.info

(...)

Tout cela pour un virus dont le taux de rétablissement s'élève à 99%, [7] et qui provoque des symptômes qui, pour la majorité des gens, ne sont pas plus sévères que ceux d'un état grippal.

En fait, une nouvelle étude a révélé des erreurs massives dans la comptabilisation du nombre de décès attribués au Covid. L'étude, toujours en cours d'examen, a confirmé ce que d'autres scientifiques à travers le monde nous disent : « Ces analyses de données suggèrent que contrairement aux hypothèses de la plupart des gens, le nombre de décès liés au Covid-19 n'est pas alarmant. En fait, il n'a relativement aucun impact sur le nombre de décès aux États-Unis. » [8] Toujours est-il que ce genre de nouvelles n'empêche pas nos concitoyens de croire aveuglément la propagande massive qui veut que nous paniquions, que nous cherchions à tout contrôler, allant même jusqu'à espionner nos voisins. [9]

Je pense à la lettre d'une femme désespérée dont le mari ne peut se faire opérer du rein pour le soigner d'un cancer. Ou cette personne âgée dans une maison de repos qui dit préférer mourir du Covid-19 plutôt que d'être à nouveau enfermée loin de ses proches. Ou les médecins à qui j'ai parlé qui me disent que leurs hôpitaux ne sont pas envahis par les cas de Covid-19, y compris dans plusieurs grandes villes — contrairement à la propagande des grands médias, qui persistent à demeurer en mode panique. Ou ce mail d'une femme habitant dans le Manitoba, au Canada, où le gouvernement a basculé dans un état quasi policier, allant jusqu'à ordonner aux magasins de cesser de vendre des produits « non essentiels ».

J'ai fait quelques courses hier et j'ai juste dû rire de l'absurdité concernant ce que les gens peuvent et ne peuvent pas acheter en ce moment. Vous êtes autorisé à acheter des jouets pour vos animaux de compagnie... mais pas pour vos enfants. Une brosse pour vos cheveux... mais pas de serre-tête ni de porte-queue de cheval. Des chaussettes... mais pas de pantoufles. Des cartes-cadeaux... mais vous ne pouvez pas acheter de carte de vœux pour y joindre la carte-cadeau. Pas de fleurs, pas de livres, pas de puzzles, pas de maquillage, pas de parfums, pas de cadeaux. Vous ne pouvez donc pas vous faire belle, sentir bon, regarder de belles choses, stimuler votre esprit, jouer à quoi que ce soit... mais vos animaux de compagnie le peuvent. C'est juste bizarre ! Comment pouvons-nous accepter tout ceci ? Comment cela a-t-il un quelconque sens rationnel pour une famille souhaitant prendre soin d'elle et garder un état mental sain, alors qu'on s'apprête à imposer à ces familles un confinement encore plus sévère ? Ils nous volent notre mode de vie quotidien et nous privent des nécessités humaines les plus élémentaires.

— Résidente du Manitoba

Je pense aussi à toutes les personnes qui auraient pu être sauvées si CNN, Twitter et la plupart des grands médias n'avaient pas interdit les informations vitales confirmant que « l'hydroxychloroquine à faible dose combinée au zinc et à l'azithromycine » réduisent de 84% le nombre d'hospitalisations ainsi que le taux de mortalité, selon une étude évaluée par des pairs sur le point d'être publiée. [10]

Cela nous frustre de voir que l'on peut s'asseoir dans un petit restaurant sans porter de masque, parler, rire et manger... mais nous ne pouvons pas nous rendre au Repas du Seigneur dans certaines églises sans nous voir imposer des restrictions sévères — quand la Sainte Messe ne nous est pas carrément interdite. L'Eucharistie est considérée comme « non essentielle » — et, ce qui est encore plus afligeant, avec la collaboration de plusieurs évêques. Alors que commencent à se multiplier les témoignages de fidèles ou de prêtres se voyant infliger de lourdes amendes, [11] alors que l'Église entre dans la clandestinité [en France], au Royaume-Uni et ailleurs [12], et que plusieurs pays ou régions mettent en place des « lignes directes » pour signaler les voisins qui enfreignent l'obligation du port du masque, les règles de distanciation ou de confinement [13], les paroles de l'évangile de saint Luc commencent à devenir notre réalité :

Vous serez livrés même par vos parents, vos frères, votre famille et vos amis, et ils feront mettre à mort certains d'entre vous. Vous serez détestés de tous, à cause de mon nom. Mais pas un cheveu de votre tête ne sera perdu. C'est par votre persévérance que vous garderez votre vie.

Lc 21: 16-19

Les mots puissants de ce courageux évêque français sont une véritable bouffée d'air frais, car il résume si bien tout ce qui a été dit ci-dessus. Voici une partie de sa déclaration :

Nous vivons une situation inédite qui ne laisse pas d'inquiéter. Sans doute traversons-nous une crise sanitaire sans précédent, pas tant par l'ampleur de l'épidémie que par sa gestion et son impact sur la vie des personnes. La peur, qui s'est emparée de beaucoup, est entretenue par le discours anxiogène et alarmiste des pouvoirs publics, relayé en boucle par la plupart des grands médias. Il en résulte une difficulté croissante à réfléchir, un manque de recul évident par rapport aux événements, un consentement quasi généralisé des citoyens à la perte de libertés pourtant fondamentales. Au sein de l'Eglise, on observe des réactions pour le moins inattendues : ceux qui dénonçaient naguère l'autoritarisme de la Hiérarchie et contestaient systématiquement son Magistère, en particulier en matière de morale, se soumettent aujourd'hui sans sourciller à l'Etat, semblant perdre tout sens critique, et s'érigent en moralisateurs, culpabilisant et dénonçant sans appel ceux qui osent poser des questions sur la doxa officielle [14] ou défendre des libertés fondamentales. La peur n'est pas bonne conseillère : elle conduit à des attitudes inconsidérées, elle monte les gens les uns contre les autres, elle génère un climat de tension, voire de violence. Nous pourrions bien être au bord de l'explosion !

(...)

Parce que l'homme est « un de corps et d'âme », il n'est pas juste de faire de la santé physique une valeur absolue, jusqu'à sacrifier la santé psychologique et spirituelle des citoyens, et en particulier de les priver de pratiquer librement leur religion, dont l'expérience prouve qu'elle est essentielle à leur équilibre. Parce que l'homme est social par nature et ouvert à la fraternité, il est insoutenable de briser les relations familiales et amicales et de condamner les personnes les plus fragiles à l'isolement et à l'angoisse de la solitude, comme il est injuste de priver les artisans et les petits commerçants de leur activité, tant ils contribuent dans nos villes et villages à la convivence sociale. Si l'Eglise reconnaît la légitimité de l'autorité publique, c'est à condition que, selon une juste hiérarchie des valeurs, elle facilite l'exercice de la liberté et de la responsabilité de chacun et promeuve les droits fondamentaux de la personne humaine.

— Mgr Marc Aillet pour la revue diocésaine Notre Eglise, numéro de décembre 2020 ; lisez toute sa déclaration ici : diocese64.org

Lire : Mgr Michel Aupetit : « Là, c'est fini ! On nous infantilise, on ne nous prend pas au sérieux »

Cette obsession quant à la seule santé physique de nos communautés, au détriment de leur bien-être émotionnel et spirituel, a provoqué une pandémie de désespoir. De nombreux chrétiens se laissent inspirer et guider par un esprit de peur irrationnelle alors qu'ils deviennent des instruments involontaires de propagande. Nous devons à tout prix nous dépouiller de cette mentalité mondaine.

Le grand dépouillement

Nous pouvons nous sentir impuissants à arrêter cette « Bête » qui cherche à avoir un contrôle total sur nos vies. En effet, au moment où je vous écris, je ne suis plus autorisé à voir mes propres enfants (en effet, nous avons atteint le maximum de cinq membres dans notre foyer). Je repense à ces mots simples mais puissants que j'ai entendus en 2007. En priant devant le Saint Sacrement, j'ai eu l'impression saissante qu'un ange planait au-dessus du monde et criait :

"Contrôle ! Contrôle !"

Aujourd'hui, le corollaire de ces mots est cette parole :

Qui est comparable à la Bête, et qui peut lui faire la guerre ?

Ap 13: 4

C'est le retour du communisme, cette fois à l'échelle mondiale, comme Notre Dame l'avait annoncé. [15] J'ai donc dû m'y résoudre également, me trouvant en train de dire à Jésus : « Que veux-tu de moi maintenant, Seigneur ? » Et voici la réponse que j'ai reçue : avant tout autre chose, je sens que Notre Seigneur veut que je vous prépare, la petite cohorte de Notre Dame, au don de la Vie dans la Divine Volonté. Nous vivrons particulièrement de ce don dans la prochaine Ère, lorsque le « Notre Père » sera accompli et que Sa volonté sera faite « sur la terre comme au Ciel ». Si vous ne savez pas de quoi je parle, j'ai écrit une sorte de "prologue" pour vous aider à comprendre en quoi consiste ce don : The Coming New and Divine Holiness. Comme Jésus le disait récemment à Edson Glauber au Brésil :

Ma volonté régnera puissamment parmi Mes élus et, par eux, unis à Mon Cœur et à Ma volonté, ils obtiendront de grandes grâces et recevront de puissantes lumière pour les âmes dépourvues de foi et qui errent sans vie. Beaucoup d'âmes recevront la sève de la vie, la grâce d'être restaurées dans leur vie et en toutes choses, permettant à l'œuvre de la création de retourner à son origine parfaite et sainte ; ainsi Mon royaume sur terre sera « tel qu'il est au ciel », et la nouvelle Jérusalem, la Cité sainte, viendra s'établir parmi les hommes.

— 24 novembre 2020 ; cf. countdowntothekingdom.com

Mais pour recevoir ce don, dont nous jouirons dans l'Ère prochaine, il nous faut nous laisser dépouiller de tout ce à quoi nous nous accrochons dans l'ère présente. Le sentiment d'impuissance, le manque de contrôle sur les événements en cours, fait partie de la nécessaire purification de l'Église. Cette kénose, cette mort à nous-mêmes, sert un dessein bien précis : elle nous prépare à recevoir une effusion du Saint-Esprit à travers une nouvelle Pentecôte. Ah, ne voyons-nous pas se réaliser de plus en plus les paroles de la prophétie de Ralph Martin donnée à Rome en 1975... ?

Parce que Je vous aime, Je veux vous montrer ce que Je suis en train de faire dans le monde aujourd'hui. Je veux vous préparer pour ce qui va venir. Des jours de ténèbres arrivent pour votre monde, des jours de tribulations…
Les bâtiments que vous voyez encore debout actuellement ne le seront bientôt plus. Mon peuple ne pourra plus compter sur l'aide et le soutien auxquels il a recours aujourd'hui. Je veux vous préparer, mon peuple, à ne connaître que Moi, à ne compter que sur Moi, à M'avoir en vous d'une façon plus profonde qu'elle ne l'a jamais été.

Je vais vous conduire au désert… Je vais vous dépouiller de tout ce dont vous dépendez actuellement, pour que vous ne dépendiez plus que de Moi.

Un temps de ténèbres arrive sur le monde, mais un temps de gloire arrive pour mon Eglise, un temps de gloire arrive pour mon peuple. Je vais déverser sur vous tous les dons de Mon Esprit. Je vais vous préparer pour un combat spirituel. Je vais vous préparer pour un temps d'évangélisation tel que le monde n'en a jamais vu…

Et lorsque vous n'aurez plus rien à part Moi, vous aurez tout : des terres, des champs, des foyers, et des frères et soeurs et de l'amour et une joie et une paix plus que vous n'en aurez jamais eus auparavant. Soyez prêts mon peuple, Je veux vous préparer…

— Ralph Martin, Place Saint Pierre, Rome, Italie, Lundi de Pentecôte, 1975

Maintenant, je sais qu'il y a d'autres choses, d'autres avertissements à donner à mesure que s'intensifie cette Grande Tempête — je pense aussi à vos questions sur la vaccination, la désobéissance civile, etc. Je ne sais pas non plus combien de temps il me reste pour vous écrire. La censure atteint des niveaux incroyables aujourd'hui. Certains webmasters voient leur site Internet pûrement et simplement supprimé ; la police se présente aux portes des gens suite à des commentaires déposés sur des réseaux sociaux [16], et Youtube, Facebook, etc. bloquent et interdisent les informations comme de dociles agents communistes. En fait, je ne serais pas surpris qu'à un moment donné dans un proche avenir, du jour au lendemain, il y ait une fermeture massive de l'ensemble des sites qui donnent de « fausses informations » (ndtr, c'est-à-dire, contraires au narratif officiel) afin de « protéger » la vie des gens. Nous ne pouvons pas laisser les gens faire preuve d'esprit critique à une époque comme la nôtre, n'est-ce pas ?

Le début des tribulations

Je n'ai plus aucun doute quant au fait que nous sommes sur le point d'entrer dans les tortures de l'enfantement — la rupture définitive des Sept Sceaux de la Révolution. C'est « le début des tribulations », nous dit la Sainte Vierge. Mais ensuite elle ajoute,

Chantez des louanges et des hymnes au Seigneur : n'ayez pas peur, mais soyez courageux.

Ne vous enivrez pas de vin, car il porte à l'inconduite ; soyez plutôt remplis de l'Esprit Saint. Dites entre vous des psaumes, des hymnes et des chants inspirés, chantez le Seigneur et célébrez-le de tout votre cœur. À tout moment et pour toutes choses, au nom de notre Seigneur Jésus Christ, rendez grâce à Dieu le Père.

Ep 5: 18-20

La raison pour laquelle Marie nous invite à être joyeux, c'est qu'elle sait qu'elle est notre Arche, elle est le Refuge pour notre temps (lire aussi Le temps des refuges) comme Notre Seigneur lui-même nous l'a dit :

Ma Mère est l'Arche de Noé...

— La Flamme d'Amour, p. 109; Imprimatur de l'archevêque Charles Chaput

C'est l'heure de remplir la lampe de votre cœur avec l'huile de la foi, pas celle du désespoir ! Ces grâces, ces dons vous seront donnés dans la prière et le jeûne. Allez vous confesser, comme Notre Dame de Medjugorje nous y a également invités le mois dernier [...] :

L'histoire sera vérité, laquelle se répète aussi aujourd'hui en vous et autour de vous. Travaillez à la paix et construisez-la par le sacrement de la Confession. Réconciliez-vous avec Dieu, petits enfants, et vous verrez des miracles autour de vous.

— 25 novembre 2020 ; medjugorie.ws

Peut-être fait-elle référence à « l'histoire » de la Passion, de la Mort et de la Résurrection du Christ :

Car les mystères de Jésus ne sont pas encore dans leur entière perfection et accomplissement. Bien qu'ils soient parfaits et accomplis dans la personne de Jésus, ils ne sont pas néanmoins encore accomplis et parfaits en nous qui sommes ses membres, ni en son Église qui est son corps mystique.

— St Jean Eudes, traité “Sur le royaume de Jésus”, Liturgie des heures, Vol IV, p. 559 ; adoratioiesuchristi.blogspot.com

Enfin, dans la parabole des dix vierges et de leurs lampes, celles qui sont prêtes pour la venue de l'Époux (lire Jesus is Coming!) son celles que le Seigneur appelle « sages ». Le monde est poussé au bord du gouffre par des médecins et scientifiques — ce qui prouve bien que la connaissance ne remplace pas la Sagesse. La bonne nouvelle, nous dit saint Jacques, c'est que si nous manquons de sagesse, il nous suffit de la demander :

Mais si l'un de vous manque de sagesse, qu'il la demande à Dieu, lui qui donne à tous sans réserve et sans faire de reproches : elle lui sera donnée.

Jacques 1: 5

C'est l'heure du Grand Dépouillement — tout comme Notre Seigneur fut dépouillé avant Sa crucifixion. Mais songez à la gloire dans laquelle sera revêtue l'Épouse du Christ après la résurrection de l'Église !

« Ces gens vêtus de robes blanches, qui sont-ils, et d'où viennent-ils ? » Je lui répondis : « Mon seigneur, toi, tu le sais. » Il me dit : « Ceux-là viennent de la grande épreuve ; ils ont lavé leurs robes, ils les ont blanchies par le sang de l'Agneau... Soyons dans la joie, exultons, et rendons gloire à Dieu ! Car elles sont venues, les Noces de l'Agneau, et pour lui son épouse a revêtu sa parure. Un vêtement de lin fin lui a été donné, splendide et pur.

Ap 7 ; 13-14, 19: 7-8

Mark Mallett
The Great Stripping